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Pour tĂ©lĂ©charger la fiche en Pdf appuyez sue le lien ci-dessous Le Horla de Maupassant TITRE Le Horla Date de publication Il existe deux versions du Horla» ï· Un premier Horla» a Ă©tĂ© publiĂ© dans Gil Blas, Ă Paris le 16 octobre 1886, puis repris dans la Vie populaire le 9 dĂ©cembre 1886. Ce premier rĂ©cit ne fut jamais intĂ©grĂ© Ă un recueil du vivant de Maupassant. ï· Une seconde version fut publiĂ©e directement dans un recueil auquel elle donna son titre. Ce recueil fut publiĂ© chez Ollendorff en mai 1887. Lâauteur Guy de Maupassant, nĂ© Henry-RenĂ©-Albert-Guy de Maupassant le 5 aoĂ»t 1850 au chĂąteau de Miromesnil Ă Tourville-sur-Arques et mort le 6 juillet 1893 Ă Paris, est un Ă©crivain français. LiĂ© Ă Gustave Flaubert et Ă Ămile Zola, il a marquĂ© la littĂ©rature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles plus de 300, parfois intitulĂ©es contes, comme Boule de Suif en 1880, Les Contes de la bĂ©casse en 1883 ou Le Horla en 1887. Ces Ćuvres retiennent lâattention par leur force rĂ©aliste, la prĂ©sence du fantastique et la maĂźtrise stylistique. La carriĂšre littĂ©raire de Guy de Maupassant se limite Ă une dĂ©cennie â de 1880 Ă 1890 â avant quâil sombre peu Ă peu dans la folie et meure Ă quarante-deux ans de la syphilis. Reconnu de son vivant, Guy de Maupassant conserve un renom de premier plan, renouvelĂ© encore par les nombreuses adaptations filmĂ©es de ses Ćuvres. Contexte historique Ă la fin du xixe siĂšcle, le surnaturel est furieusement Ă la mode on explore les maladies mentales, on se pique de pratiquer l'hypnose⊠et on frĂ©mit en lisant des nouvelles et des contes fantastiques. En intĂ©grant les derniĂšres dĂ©couvertes mĂ©dicales, ses angoisses et ses hallucinations, Maupassant renouvelle le genre. Genre conte fantastique et certains pensent que câest une nouvelle fantastique Le rĂ©sumĂ© de l'histoire Le narrateur tient son journal, du 8 mai au 10 septembre. L'action se dĂ©roule donc sur un peu plus de quatre mois. â Mai une bonne journĂ©e passĂ©e dans son jardin, Ă regarder les bateaux. Deux jours plus tard, il se dit malade et inquiet. Sa belle humeur l'a quittĂ©. Passent deux jours sans que sa maladie ne le quitte. Son mĂ©decin le rassure. MalgrĂ© les mĂ©dicaments, l'inquiĂ©tude persiste. Il note sa nervositĂ©, sa peur de se coucher le soir. Il fait d'affreux cauchemars et rĂȘve qu'on l'Ă©touffe dans son sommeil, en pesant sur sa poitrine. â Juin son Ă©tat ne s'amĂ©liore pas. La solitude du bois, lors d'une promenade, l'inquiĂšte ; il a l'impression d'ĂȘtre suivi et a du mal Ă retrouver son chemin. Il dĂ©cide alors de partir un peu, pour se changer les idĂ©es. â Juillet un mois plus tard, il reprend son journal et y raconte sa visite au Mont Saint-Michel. Ă la question faut-il croire Ă ce qu'on ne voit pas ? » le moine qui l'accompagne rĂ©pond par l'affirmative. Le narrateur remarque que les cauchemars de son cocher sont semblables aux siens. DĂšs la deuxiĂšme nuit chez lui, ces rĂȘves deviennent intolĂ©rables, au point qu'il songe Ă repartir. La nuit suivante, il remarque qu'une carafe d'eau, pleine la veille, se trouve vide le lendemain matin. Le narrateur dĂ©cide de tenter quelques expĂ©riences seuls l'eau et le lait semblent disparaĂźtre. Il constate enfin qu'il ne peut s'agir de somnambulisme. TrĂšs effrayĂ©, il part pour Paris, s'y distrait et se moque de ses frayeurs passĂ©es. Il assiste Ă une sĂ©ance d'hypnotisme qui le trouble beaucoup. â AoĂ»t dans le jardin, une rose, cueillie par une main invisible, est restĂ©e suspendue en l'air devant le narrateur. Il est persuadĂ© de la prĂ©sence d'un ĂȘtre invisible. Le lendemain, il se demande s'il ne devient pas fou et se sent obligĂ© de rentrer, mu par une force obscure. Il a peur, dĂ©cide de partir, sans y parvenir. Ă Rouen, il emprunte un livre sur les phĂ©nomĂšnes surnaturels. Il n'arrive pas Ă se rendre Ă la gare et ordonne au cocher, contre sa volontĂ©, de rentrer. Il s'aperçoit que les pages du livre tournent toutes seules. Il essaie de saisir l'ĂȘtre invisible qui s'enfuit par la fenĂȘtre. Le narrateur dĂ©cide de le tuer. La lecture d'un article scientifique sur une Ă©pidĂ©mie de folie » sĂ©vissant au BrĂ©sil le convainc que l'ĂȘtre invisible, qu'il baptise le Horla, s'apprĂȘte Ă envahir le monde. Il ne se sent plus maĂźtre de ses pensĂ©es. Le soir mĂȘme, il tente d'attraper le Horla, se retrouve face Ă son miroir, qui ne lui renvoie plus son image. Le lendemain, il fait poser porte et volets de fer Ă sa chambre. â 10 septembre derniĂšre page du journal. Le narrateur a enfermĂ© le Horla dans sa chambre et a mis le feu Ă la maison. Tout Ă son projet, il avait oubliĂ© que ses domestiques y dormaient aussi. La seule chose qui le prĂ©occupe, pourtant, est de savoir si le Horla est bien mort. Ce n'est pas si sĂ»r⊠Les personnages 1. Le narrateur âą Le narrateur ne donne aucun indice concernant son identitĂ©. C'est un homme j'ai passĂ© toute la matinĂ©e Ă©tendu sur l'herbe », normand, qui n'a pas besoin de travailler. Il est cultivĂ© et curieux Je viens de lire ceci dans la Revue du Monde Scientifique » et analyse de façon trĂšs prĂ©cise, presque scientifique, ses sensations un simple malaise, un trouble de la circulation peut-ĂȘtre, l'irritation d'un filet nerveux, un peu de congestion ». Il n'est ni fou ni crĂ©dule Les faits qu'il avança me parurent tellement bizarres, que je me dĂ©clarai tout Ă fait incrĂ©dule. », ce qui rend son tĂ©moignage plus vraisemblable. Le lecteur de la fin du xixe siĂšcle peut donc s'identifier aisĂ©ment au narrateur, ce qui renforce la violence du surnaturel et la montĂ©e de l'angoisse. 2. Le Horla âą Les preuves que rĂ©unit le narrateur de l'existence d'un ĂȘtre invisible » peuvent former une sorte de portrait du Horla. Son corps ne paraissait point possĂ©der de contours nettement arrĂȘtĂ©s, mais une sorte de transparence opaque. Il boit de l'eau et du lait sans paraĂźtre toucher Ă aucun autre alimen. » Il semble parfois craintif [âŠ] il s'Ă©tait sauvĂ© ; il avait eu peur, peur de moi, lui ! ». Le Horla, c'est l'Autre, mystĂ©rieux, qui cristallise les peurs J'ai peur⊠de quoi ? ». Son nom mĂȘme exprime cette Ă©trangetĂ© hors de lĂ , qui fait aussi penser au horsain, mot normand pour dĂ©signer l'Ă©tranger. Les thĂšmes 1. La folie âą Chaque page du journal commence par une sorte de bulletin de santĂ©. Le narrateur est d'abord simplement souffrant Je suis malade, dĂ©cidĂ©ment !, Mon Ă©tat, vraiment, est bizarre. ». TrĂšs vite, il fait rĂ©fĂ©rence Ă la folie Je deviens fou, dĂ©cidĂ©ment, je suis fou !, je me demande si je suis fou. ». Il dĂ©cline alors le thĂšme de la folie, sous toutes les formes connues par la science ou la religion hallucinations, dĂ©mence, troubles, fantasmagories, dĂ©lire » et jusqu'Ă la possession par le diable. 2. Le surnaturel âą Le narrateur dĂ©crit prĂ©cisĂ©ment les manifestations surnaturelles auxquelles il assiste je vis, je vis, distinctement, tout prĂšs de moi » une rose cueillie par une main invisible, l'eau disparue de la carafe, les pages d'un livre tournant toutes seules, le reflet du narrateur kidnappĂ© » dans son miroir. Dans le Horla, le surnaturel est donc essentiellement marquĂ© par l'invisible L'air invisible est plein d'inconnaissables Puissances ». 3. Le double âą Maupassant connaissait les dĂ©couvertes de son Ă©poque en psychiatrie. Il exploite le thĂšme du double dans ce sens il y a dans l'ĂȘtre deux moi » contradictoires, l'un normal et logique, l'autre inquiĂ©tant et irrationnel. Le narrateur se sent menacĂ© par ce second moi » devenu un autre un ĂȘtre Ă©tranger, inconnaissable et invisible, anime, par moments, quand notre Ăąme est engourdie, notre corps captif qui obĂ©it Ă cet autre ». Pour se dĂ©barrasser de ce double qui prend possession de lui, le narrateur n'a qu'une issue se tuer Alors⊠alors⊠il va donc falloir que je me tue, moi !⊠».
Voustrouverez ci-dessous la liste alphabétique des contes et nouvelles de Maupassant suivis de leur résumé. (Le Gaulois, 31 octobre 1882 puis dans le recueil Contes de la bécasse, 1883) Deux familles pauvres vivent dans des maisons voisines : les Tuvache et les Vallin. Elles ont chacune quatre enfants. Un jour, un couple de nobles sans enfants, M. et Mme
La BoĂźte Ă Merveilles RĂ©sumĂ© chapitre par chapitre Chapitre I L'Ćuvre sâouvre sur un passage dans lequel le narrateur adulte dĂ©crit son prĂ©sent oĂč un sentiment de solitude, trĂšs ancien, le prive de dormir le soir quand les autres dorment. Sans plus de dĂ©tails, il dĂ©crit ce quâil voit des souvenirs un enfant de six ans lui-mĂȘme qui joue et essaie dâattraper un moineau qui ne vient jamais. Sa solitude alors lâaccompagne depuis son enfance! Du pronom je» le narrateur passe Ă employer le pronom collectif nous» pour parler aussi de ses parents, il prĂ©sente dâabord la Chouafa en Ă©voquant ses fĂȘtes, elle occupait le rez-de-chaussĂ©e, puis les autres voisins Driss El Aouad, sa femme Rahma, leur fille Zineb, et Fatma Bziouya. Il explique ensuite pourquoi il nâavait pas dâamis. Il parle aussi de son attente de grandir pour faire ce quâil voudrait. Le narrateur Ă©voque Ă©galement le Msid, le fqih, avant de parler du bain maure, quâil nâaime toujours pas. Vient alors une description des objets de la BoĂźte Ă Merveilles et la relation que lâenfant entretenait avec eux, ils lui portent secours dans les heures de chagrin. La mĂšre du narrateur, comme il la dĂ©crit, avait des talents dans lâart de raconter et imiter les personnages de ses rĂ©cits. Finalement, le narrateur nous relate le drame de la lessive entre sa mĂšre et Rahma, la voisine, un bien long rĂ©cit qui se clĂŽt sur lâĂ©vanouissement du narrateur. [p-p 3-19] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre II Câest le mardi, jour redoutĂ© des Ă©lĂšves du msid. La nuit de lâenfant Ă©tait peuplĂ©e de cauchemar. Il passe la matinĂ©e Ă lâĂ©cole coranique jusquâĂ lâheure du dĂ©jeuner, le fqih, un maĂźtre sĂ©vĂšre et sans pitiĂ©, lui fait signe de partir. LâaprĂšs-midi serait consacrĂ© Ă la rĂ©citation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque Ă©lĂšve au msid. A la maison, lâenfant trouve que sa mĂšre souffre dâune terrible migraine elle a mal Ă la tĂȘte. Une ancienne voisine, Lalla AĂŻcha, vient lui rendre visite, elle lui indique un fqih pour se dĂ©barrasser de ses maux physiques et moraux. Face Ă la pĂąleur de lâenfant que la mĂšre explique par le mauvais Ćil, alors quâen rĂ©alitĂ© câĂ©tait Ă cause de la peur de la baguette du cognassier sâil ne rĂ©cite pas bien lâaprĂšs-midi et la maladie de la mĂšre, Lalla AĂŻcha trouve un autre conseil aller Ă Sidi Ali Boughaleb, le mausolĂ©e. La mĂšre du narrateur hĂ©site un peu, puis finit par accepter sous lâinsistance de la visiteuse. La femme souffrante sâapprĂȘte Ă sortir, le narrateur nous prĂ©sente une description de ce quâil garde encore sur lâancienne voisine. Une longue description de chemin vers le mausolĂ©e, des lieux Ă cĂŽtĂ©, puis de lâintĂ©rieur de ce lieu sacrĂ©, la scĂšne des femmes qui demandent de lâaide Ă ce saint, avant de raconter leur dialogue avec la Moqadma et sa sĂ©rie dâinvocation. Cette scĂšne se termine par un drame lâenfant reçoit un magistral coup de griffe dâun chat quâil voulait caresser il y a beaucoup de chats dans ce mausolĂ©e, il pleure alors jusquâĂ son arrivĂ©e Ă la maison. Le lendemain, lâenfant ne va pas au msid. Il dĂ©crit le dĂ©but dâune journĂ©e ordinaire dans la maison de la voyante, oĂč la vie commence Ă flĂąner rapidement le matin, de chambre en chambre. Le narrateur nous raconte comment son pĂšre est devenu tisserand aprĂšs avoir quittĂ© son village situĂ© Ă une cinquantaine de kilomĂštres. Cet homme sort trĂšs tĂŽt et ne revient quâaprĂšs la derniĂšre priĂšre, il mange Ă lâatelier. Le narrateur parle aussi de Driss le teigneux, lâouvrier qui vient le matin pour acheter les provisions, et au milieu du jour chercher le dĂ©jeuner de son patron le pĂšre du narrateur. Le petit aide sa mĂšre Ă Ă©cosser des fĂšves, besogne quâil nâa pas trop aimĂ©e, il va donc chez Fatma Bziouya qui roulait du couscous, elle lui tend un radis, mais nâen ayant pas aimĂ© le goĂ»t, lâenfant monte sur la terrasse et le jette par-dessus le mur. En redescendant, il rencontre Rahma Ă laquelle sa mĂšre nâa adressĂ© aucun mot depuis leur querelle Ă cause du linge qui lui offre un cabochon, un nouveau bijou quâil ajouterait aux objets de sa BoĂźte Ă Merveilles. [p-p 20-39] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre III AprĂšs les deux jours et demi de repos, Sidi Mohammed revient au msid vendredi aprĂšs la priĂšre de midi. Le fqih ne peut rĂ©sister au sommeil, il se rĂ©veille de temps Ă autre et distribue au hasard des coups de baguette. Les enfants sont libĂ©rĂ©s le soir aprĂšs les rituels de coutume. A la maison, le narrateur joue avec ses objets de la BoĂźte Ă Merveilles, surtout le cabochon que lui avait offert Rahma. Chez Fatma Bziouya, Lalla Zoubida dĂ©couvre la lampe Ă pĂ©trole, elle est Ă©blouie de son pouvoir! AprĂšs le dĂźner, elle dĂ©clare alors de maniĂšre indirecte, devant le pĂšre du narrateur, quâelle aussi dĂ©sire une lampe Ă pĂ©trole. Le lendemain, au retour du msid, lâenfant en trouve une accrochĂ©e au mur, sa joie est partagĂ©e avec tante Kanza, la chouafa, qui monte pour admirer la nouvelle acquisition. Le mĂȘme jour, Rahma a perdu sa fille Zineb au milieu de la foule en route vers un baptĂȘme. Zoubida raconte les dĂ©tails de ce drame au pĂšre, aprĂšs le dĂźner, et comment, accompagnĂ©e de Fatma Bziouya, elle a pu la trouver Ă la maison des Idrissides Dar Kitoun. Jeudi suivant, pour remercier Dieu, Rahma organise un repas pour les pauvres. Le narrateur dĂ©crit les prĂ©parations des femmes de la maison pour la fĂȘte, et comment cette derniĂšre sâest dĂ©roulĂ©e. Le soir, Sidi Mohammed sort sa BoĂźte Ă Merveilles, mais ses objets refusent de lui offrir lâenchantement dĂ©sirĂ©, il se met Ă pleurer. [p-p 40-55] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IV Sidi Mohammed et sa mĂšre, dans les premiers jours du printemps, rendent visite Ă Lalla AĂŻcha qui habite dans lâimpasse de Zankat Hajjama. Le narrateur dĂ©crit la maison de lâancienne voisine. Il Ă©voque les sujets de la discussion des deux femmes, câest une occasion pour dĂ©crire les parents de Sidi Mohammed. Le hĂ©ros raconte ensuite le rĂ©cit de son jeu avec les enfants de la maison, avant de prĂ©senter la description des voisines de Lalla Zoubida. Le mari de Lalla AĂŻcha arrive, sa femme le rejoint dans la chambre. Le narrateur insĂšre ensuite un rĂ©cit racontĂ© par une voisine de Lalla AĂŻcha une mise en abyme et qui Ă©tait inachevĂ©. Lâamie de la mĂšre, revenue de sa chambre, raconte Ă voix basse, en pleurant, les ennuis de son mari. Lalla Zoubida la console comme une grande sĆur. Le soir, Si Abdeslam vient chercher sa femme et son fils, et les trois membres de la famille reviennent chez eux. AprĂšs le dĂźner, la mĂšre raconte au pĂšre le drame de Moulay Larbi avec son associĂ© Abdelkader, qui a niĂ© tout ce que son patron avait fait pour lui venir en aide. Le narrateur relate ensuite un discours du pĂšre sur Abdallah lâĂ©picier. [p-p 56-77] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre V Ce mercredi, la baguette nâest plus quâun objet pour occuper les doigts du fqih! il annonce aux Ă©lĂšves comment ils devraient se prĂ©parer pour Achoura. Revenu Ă la maison, lâenfant a peur car il est seul, sa mĂšre Ă©tait sortie avec Lalla AĂŻcha avant son arrivĂ©e. RentrĂ©e chez elle, Lalla Zoubida raconte Ă Fatma Bziouya, puis Ă Rahma la perte de Zineb Ă©tait une occasion pour la rĂ©conciliation des deux femmes les soucis de Lalla AĂŻcha elle a vendu ses bijoux et les meubles de son mĂ©nage pour aider son mari Ă ne pas perdre son atelier et garder son travail de babouchier. Soudain, des cris dĂ©chirent le silence, câest Ă cause de la mort du coiffeur Sidi Mohammed Ben Tahar. Le narrateur nous prĂ©sente alors la scĂšne des pleureuses, suivie de lâarrivĂ©e des psalmistes. Il dĂ©crit ensuite les rituels des cortĂšges dâenterrement. On lit Ă©galement lâhistoire de Sidi jâen ai oubliĂ© le nom avec le cadavre sur la civiĂšre sans cortĂšge. Lâenfant reçoit une nouvelle merveille, câest une chaĂźne que sa mĂšre lui avait donnĂ©e. AprĂšs lâavoir transformĂ©e, en la nettoyant, en or pur, le chat de Zineb la vole et prend la fuite! une bataille acharnĂ©e a lieu alors entre Sidi Mohammed et la fille de Rahma. [p-p 78-98] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VI Les prĂ©paratifs de la fĂȘte dâAchoura commencent. La salle du msid est nettoyĂ©e, les nattes remplacĂ©es, les murs badigeonnĂ©s. Pour ce travail, le maĂźtre forme des Ă©quipes, mais Ă cause du dĂ©sordre fait par les enfants, la tache accomplie ce jour-lĂ Ă©tait seulement passer les murs au lait de chaux. Le lendemain, encore des Ă©quipes, Sidi Mohammed est nommĂ© alors chef des frotteurs ! Pour les Ă©lĂšves, câest une occasion pour Ă©viter les leçons et les rĂ©citations. Le narrateur revient chez lui tout fier de sa journĂ©e. Le matin suivant, la mĂšre empĂȘche lâenfant dâaller au msid, il doit lâaccompagner Ă la kissaria pour acheter de nouveaux habits, il est donc si heureux quâil pardonne Ă tout ce qui Ă©tait source de malheur pour lui! Chemin faisant, la mĂšre rencontre une voisine de Lalla AĂŻcha et entame avec elle une longue conversation sur lâaffaire Moulay Larbi. Le narrateur nous rapporte ensuite la scĂšne de marchandage pour lâachat du gilet. Lalla Zoubida a failli oublier la satinette que lui avait demandĂ©e Kanza en partant de chez elle, son fils lui rappelle cette commande. Quand les deux personnages sont revenus Ă dar chouafa, Rahma les invite un instant, le narrateur nous dĂ©crit la chambre de cette voisine. AprĂšs une nouvelle dispute avec Zineb, lâenfant plonge dans ses rĂȘveries, sa mĂšre lâen repĂȘche pour manger. Un chant commence sur la terrasse, câest Lalla Khadija, une jeune fille qui a Ă©pousĂ© un vieillard qui sâappelle oncle Othman. Sa chanson donnera naissance Ă un long dialogue entre les femmes de la maison, dont lâĂ©lĂ©ment principal est le rĂ©cit dâun Ă©vĂ©nement qui fait rire racontĂ© par Rahma Ă propos de lâoncle Othman et sa jeune Ă©pouse. [p-p 99-120]Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VII Deux jours avant Achoura, les femmes sâachĂštent des tambourins et des bendirs, le bruit de ces instruments accompagnĂ© de chant berce le quartier. Lâenfant, quant Ă lui, a droit Ă une longue trompette. Hammoussa, lâĂ©lĂšve le plus petit de taille de lâĂ©cole, vient chercher Sidi Mohammed, le fqih a besoin de lui. Les Ă©lĂšves dĂ©corent le msid avec des lustres, besogne qui ne sâest terminĂ©e quâavant le coucher du soleil. A la maison, la mĂšre est ennuyĂ©e car elle nâa plus de pĂ©trole pour la lampe. Driss El Aouad va en chercher dĂšs que Rahma lâa mis au courant. Le lendemain, lâenfant et son pĂšre vont au souk pour acheter des jouets et passer chez le coiffeur Si Abderrahman que Sidi Mohammed nâaime pas. Les enfants jouent de leurs instruments et les femmes les admirent et les encouragent. On assiste ensuite Ă une scĂšne rapide de douche non son violence dont le hĂ©ros nâest autre que Sidi Mohammed. A trois heures du matin, Lalla Zoubida rĂ©veille son fils, difficilement, il quitte son lit pour aller fĂȘter Achoura avec les camarades au msid. Une certaine atmosphĂšre de joie et de beautĂ© enveloppe le msid et tout le quartier. Lalla AĂŻcha vient rendre visite Ă la mĂšre, et le soir, aprĂšs son dĂ©part, le narrateur ouvre sa BoĂźte Ă Merveilles, mais il est trop fatiguĂ© pour se livrer Ă ses jeux. [p-p 121-150] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VIII Câest le retour de la monotonie aprĂšs les journĂ©es agitĂ©es dâAchoura. Avec les premiers jours de chaleur, certains changements de disposition des meubles ont lieu Ă la maison, et, les journĂ©es devenant plus longues, le msid est installĂ© dans un sanctuaire deux pas plus loin, quĂȘtant de la fraĂźcheur. La mĂ©moire de Sidi Mohammed devient plus forte, il apprend ses lignes sans difficultĂ©s. Il se trace un programme jusquâau dĂ©jeuner il apprend avec ferveur ses versets, et lâaprĂšs-midi, en faisant semblant dâapprendre, il donne libre cours Ă ses rĂȘves oĂč il se voit tantĂŽt petit prince, tantĂŽt lâhomme quâil souhaite devenir plus tard. Un lundi, le pĂšre vient dĂ©jeuner Ă la maison, il annonce Ă la mĂšre quâil veut lui acheter les bracelets soleil et lune quâelle dĂ©sirait. Toute la petite famille ira donc au souk. AprĂšs la priĂšre de lâAasser, le pĂšre vient chercher sa femme et son fils pour partir, Fatma Bziouya les accompagne. Au souk, le pĂšre se dispute avec un dellal. La mĂšre, lâenfant et la voisine reviennent Ă la maison pour attendre et pour pleurer. Le soir, le pĂšre arrive avec les bracelets, mais la mĂšre refuse de les prendre au dĂ©but, avant de les tenir enfin sans les regarder face Ă l'insistance du pĂšre. La nuit du narrateur est pleine de cauchemars, le lendemain matin, sa mĂšre pense quâil est malade, il doit donc rester au lit. Lalla AĂŻcha vient rendre visite Ă Lalla Zoubida aprĂšs le dĂ©part du pĂšre. Elle annonce Ă son amie que Moulay Larbi, son mari, a Ă©pousĂ© la fille du coiffeur Abderrahman. Lâenfant devient vraiment malade, sa mĂšre est folle de peur. [p-p 151-172] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IX Lâenfant, souffrant de fiĂšvre, ne se rĂ©veille que le lendemain soir, et malgrĂ© sa faim il ne peut rien manger. Les voisines proposent chacune un remĂšde. Si Abdeslam arrive plus tĂŽt que dâhabitude, la mĂšre prĂ©pare la table pour le diner, mais personne ne mange. Quand elle revient avec le plateau pour le thĂ©, elle trouve que le pĂšre se prĂ©pare dĂ©jĂ pour aller dormir. Il lui annonce quâil avait perdu tout son capital dans la cohue des enchĂšres aux haĂŻks, il dĂ©cide alors de voyager pour travailler comme moissonneur aux environs de FĂšs. Il compte vendre les bracelets que la mĂšre nâa pas aimĂ©s, croyant quâils sont la cause du malheur qui entre dans leur maison pour laisser de lâargent Ă sa famille pendant son absence qui durera un mois. Le surlendemain Ă lâaube, le pĂšre quitte sa maison. Le narrateur fait la description du chemin vers la maison de Lalla AĂŻcha en racontant la visite de Sidi Ahmed Tijani, la scĂšne du marchand colĂ©reux, et le dialogue Ă propos du bureau des chrĂ©tiens. Il dĂ©crit Ă©galement la maison de Lalla AĂŻcha qui parait maintenant un lieu bien misĂ©rable. Les deux femmes sâapprĂȘtent pour aller visiter le voyant aveugle Sidi El Arafi. [p-p 173-198] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre X Les deux femmes et lâenfant arrivent chez Sidi El Arafi grĂące aux renseignements des gens de son quartier. AprĂšs ĂȘtre passĂ©s par des pavĂ©s mal ajustĂ©s, un couloir sombre, des escaliers⊠ils finissent par trouver la chambre du voyant. On lit donc une description de Sidi El Arafi, de sa femme et de sa chambre. Le panier du voyant rappelle Ă lâenfant sa BoĂźte Ă Merveilles. De ce panier, exĂ©cutant lâordre du voyant, Sidi Mohammed sort un objet sans le regarder câest une boule de verre, de la grosseur dâun Ćuf. Lalla AĂŻcha, quant Ă elle, sort un petit coquillage quâelle remet Ă Sidi El Arafi, son discours la fait pleurer. Tout le monde rĂ©cite la fatiha. Arrive ensuite le tour de la mĂšre elle sort une perle noire Ă dessins multicolores. Lâhomme aveugle conseille Ă Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints de Dieu qui veillent sur la ville. Enfin, les trois visiteurs quittent la chambre de Sidi El Arafi, accompagnĂ©s des vĆux de cet homme saint. AussitĂŽt dans la rue, lâenfant repense aux propos du voyant, tout-Ă -coup il court se cacher dans les plis du haĂŻk de sa mĂšre, il a vu passer le fqih du msid. DĂšs le lendemain, le hĂ©ros nâirait plus au msid durant lâabsence du pĂšre, il est malade, et sa mĂšre souffre de la solitude. Lalla Zoubida dĂ©cide dâemmener lâenfant chaque semaine prier sous la coupole dâun Saint. Un inconnu vient de la campagne, il apporte des provisions, de lâargent et quelques nouvelles, câest le messager de Si Abdeslam. Lalla AĂŻcha vient chez la mĂšre pour une visite rapide, elle lâinvite pour lui rendre visite le lendemain car elle lui rĂ©serve une surprise ! [p-p 199-221] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XI Quand lâenfant et sa mĂšre sont arrivĂ©s chez Lalla AĂŻcha, cette derniĂšre Ă©tait occupĂ©e de chasser les mouches de sa chambre. AprĂšs un bon moment, un dialogue commence enfin entre les femmes, il sera interrompu par une voix dâhomme, mais ce nâest que Salama, la marieuse, câest la surprise dont lâhĂŽtesse a parlĂ© la veille en invitant son amie Zoubida, elle a beacoup de nouvelles Ă raconter. Le narrateur rapporte le rĂ©cit de Salama, comment Moulay Larbi lâavait chargĂ©e de lui trouver une seconde Ă©pouse. Ensuite, la scĂšne de la femme Ă©trangĂšre qui a grondĂ© Sidi Mohammed et qui a failli provoquer une dispute. Le rĂ©cit de Salama reprend, elle parle des difficultĂ©s de Moulay Larbi et de ses problĂšmes avec sa jeune Ă©pouse et sa mĂšre. Une autre femme arrive pour demander de la menthe, câest Zhor, elle rejoint le groupe des femmes et se met Ă leur dĂ©voiler quelques dĂ©tails sur lâhistoire du malheureux Moulay Larbi. Epris par la musique des syllabes du dialogue des femmes, lâenfant oublie le verre quâil tenait Ă la main, le thĂ© se rĂ©pand sur ses genoux. [p-p 222-239] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XII Câest un matin joyeux, les femmes de la maison, Ă tour de rĂŽle, chantaient un couplet ou une cantilĂšne. Un enfant frappe Ă la porte, câest Allal El Yacoubi, un Ă©lĂšve de lâĂ©cole coranique, le fqih lâa envoyĂ© prendre des nouvelles de Sidi Mohammed, ce dernier se cache derriĂšre le lit, pris de panique. AussitĂŽt, Zineb, essouflĂ©e, appelle Zoubida, elle apporte une bonne nouvelle elle a vu le pĂšre du narrateur! Si Abdeslam ne tarde pas Ă prononcer la phrase coutumiĂšre Nây a-t-il personne, puis-je passer?». Dans leur chambre, lâenfant et sa mĂšre attendent lâarrivĂ©e du pĂšre. InstallĂ© sur les genoux de son pĂšre, Sidi Mohammed raconte les Ă©vĂ©nements quâils ont vĂ©cus pendant son absence, Ă sa maniĂšre. La mĂšre ne cesse dâintervenir pour rectifier. Les femmes, pour manifester leur joie, poussent des you-you et formulent des vĆux. Driss El Aouad arrive de son atelier, il monte saluer le pĂšre, il apporte une nouvelle, le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a Ă©tĂ© prononcĂ© la veille. Se sentant seul et triste, le narrateur recourt Ă sa BoĂźte Ă Merveilles oĂč toutes ses figures de rĂȘve lâattendent. [p-p 240-249] Ceci est un rĂ©sumĂ©, avez-vous bien lu ce chapitre? Nous vous invitons Ă lire Ă©galement
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