Mes amis, la vie est belle,Malgré les peines qui nous claires, voix légères,Sans un sou au fond de l’escarcelle,Chantons au soleil qui ruisselle,La vie est belle, belle toujours !Chant Scout repris par les femmes dans les camps de concentration Ce chant scout m’a ému. Le simple fait de se rappeler qu’il a été un soutien pour toutes ces femmes est émouvant. Sans doute, Haïdi Adélaïde Hautval l’a-t-elle chanté avec toutes ces femmes qu’elle a sauvées de la mort ! C’est Frédéric Hautval qui m’a suggéré de trouver un beau titre, nous en avons parlé et choisi finalement celui-ci. Au fil des mois, je ne regrette pas. Quelqu’un veut la Vie est belle, il en reste combien? Une école vient de commander la vie est belle… je vais signer la vie est belle.. » Quel joli titre ! Adélaïde Hautval, Juste parmi les Nations depuis 1965. Une des premières Justes de France. Je suis le gardien de mon un monde en proie à un total effondrement moral, une petite minorité, les Justes parmi les Nations, fait preuve d’un courage extraordinaire pour défendre les valeurs fondamentales de l’humanité, se démarquant radicalement du courant dominant d’indifférence et d’hostilité qui prévalut durant la Vashem, Institut International pour la mémoire de la Shoah Haïdi reçoit en 1965 la Médaille des Justes. C’est une reconnaissance très émouvante. JUSTE PARMI LES NATIONS. C’est un terme qui m’émeut aux larmes. C’est une des plus belles reconnaissances que l’on puisse décerner et cela lui va tellement bien ! À bien réfléchir, je pense que c’est ce qui m’a poussé à me pencher sur la vie et l’oeuvre sur cette femme pour écrire sa vie. Pense et agis selon les eaux claires de ton êtreCitation choisie par Hélène Hautval et des lycéens pour rendre hommage au courage et à la vie d’Adélaïde Hautval. Qui sauve une vie sauve l’univers tout entierExtrait du Talmud, cité par Yad Vashem Cette citation n’est pas d’Adélaïde Hautval, mais elle lui rend hommage. C’est ainsi qu’elle a vécu. J’ai voulu, en la citant en exergue de mon livre, souligner la détermination qu’elle a eue à défendre toujours les plus faibles, les plus menacés, tout au long de sa vie. Rentrant des camps, elle n’a pas repris son activité de psychiatre, mais un poste de médecin scolaire. Comme si elle voulait se pencher sur la jeune génération, celle qui sortait tout juste de la guerre, qui n’avait pas encore eu le temps d’y participer. Elle a pris part à plusieurs revendications, concernant diverses causes. Pour protester, ne suivant que sa détermination et ses convictions, elle renvoie sa médaille en 1982, après le massacre des Palestiniens des camps de Sabra et Chatila à Beyrouth. Toute sa vie, elle a suivi son coeur et sa droite pensée.
Mesamis, la vie est belle, Malgré les peines qui nous enchaînent. Âme claires, voix légères, Sans un sou au fond de l’escarcelle, Chantons au soleil qui ruisselle, La vie est belle, belle toujours ! Chant Scout repris par les femmes dans les
Nous avons quitté Triveṇī, la belle oasis, il y a maintenant plusieurs semaines . Une fois nos montures désaltérées et les voyageurs recentrés par quelques méditations, la caravane a repris sa route. Chacun a repris le rythme de la marche commune ou solitaire, en silence, le cœur lourd, après l’annonce des guides que nous sommes, de notre départ prochain de la contrée, dans moins de trois lunaisons. Nous avons tant porté, tant guidé, tant soigné chacun d’entre-vous que vous pouvez sentir à cette nouvelle, que vous êtes soudainement renvoyé à votre propre existence et à votre propre force. Lors de nos pratiques encore partagées, les sanglots retenus, l’humidité soudaine des cils, le rougeoiement des regards, la pudeur et l’effusion confondues chez certains, sont autant de témoignages de cet amour silencieux et respectueux qui nous unit. Nous l’avions déjà partagé lors des grandes pūjā पूजा, ces cérémonies où la dévotion transcende l’égo, mais aussi dans les instants anodins de la pratique quotidienne, lorsque nos regards se parlent. Jamais, nous n’en avions autant mesuré sa profondeur. Cet amour était déjà là, nous le savions. A présent, nous vivons un de ses grands moments. Je souhaite vivement que nos intelligences mutuelles œuvrent afin que dans le futur, nous partagions à nouveau des instants heureux. En attendant, aujourd’hui, devant vos peines, nous vous prenons dans nos bras et vous serrons fort contre nous, comme nous ne l’avions jamais fait, ayant toujours préservé la réserve et l’élégance relationnelle comme signes de respect mutuel. L’amitié et l’amour furent le liant de notre action spirituelle. Elle est loin d’être finie. Quant au moment de se dire au-revoir et de se saluer en nobles guerriers que nous sommes, il n’est pas encore là. Pour l’instant, nous avons à continuer la feuille de route du chemin entrepris. Ainsi, nous avons rassemblé de nouveau nos bagages faits de cuirs usés ou de toiles colorées. Certains ont pris l’essentiel pour la survie, d’autres des souvenirs fétiches ou des talismans, d’autres des marchandises précieuses à vendre ou à échanger. Épices ou soies de l’Inde, ivoires anciennes d’Afrique, perles de la mer rouge, turquoises du Sinaï, résines et encens de l’Arabie, tous ces trésors se cachent dans les enseignements spirituels du Centre Jaya sous forme dAphorismes, de Sūtra सूत्र, d’b उपनिषद्, de Tantra तन्त्र. Ils n’ont pas de prix pour ceux qui les ont découverts, leur permettant de maintenir la conscience vigilante et l’œil visionnaire. Voici les trésors de cette caravane depuis trois décennies. Je vois dans vos regards la question suivante. Mais que prend donc le guide dans sa sacoche ? Nous pourrions nous attendre à ce que le guide endosse le look » du sage, le mot étant volontairement choisi. Nous pourrions alors lui prêter un bâton pour marcher, bâton doté de pouvoir de dissuasion. Il aurait une tenue simple et son baluchon léger ne contiendrait que l’essentiel, à savoir rien. Il illustrerait ainsi ce qui fait sa différence avec un homme intelligent. Si le dernier sait résoudre les problèmes, l’homme sage les évite, d’où le peu d’affaires dans son bagage à gérer en vue de sa tranquillité. Il lui faudrait surtout détenir le savoir sacré, la connaissance de la nature humaine, la compréhension des lois universelles et surtout la maitrise de lui-même. Il lui faudrait atteindre le total détachement tel que la tradition yoguique le conçoit pour la sagesse. Mais, de multiples formes comportementales et de sens selon les cultures et les époques définissent la sagesse chez l’humain. La sagesse des Bédouins, celle des sorciers Mexicains, Africains, la sagesse des philosophes Grecs, la sagesse des Mandarins, la sagesse des Yogins, voire celle des Sages de la République, etc., sont autant d’exemples des divers points de vue du concept. En vérité, peu de sages yoguin se trouvent parmi les sādhu साधु errants Indiens d’aujourd’hui. Certains contemporains occidentaux et sans appartenance religieuse ou communautaire peuvent être, dans leur simple anonymat, des grands sages et parfois, des moines dans un āśrama आश्रम, être de véritables idiots. La totale sagesse vient au guide lorsque la maturité spirituelle lui permet dexprimer son authenticité avec simplicité, en assumant la cohérence de son être, cohérence entre ce qu’il dit et ce qu’il fait, même si cette cohérence peut sembler son contraire. Il sait où il va et ce qu’il fait. Il connaît le chemin. Le guide se prépare à la sagesse véritable qu’apporte la totale liberté, continuant ou non à assumer sa guidance. Tant qu’il lui faut conduire une caravane, le guide se doit d’avoir la totale maitrise de son mental et de son corps, mais il doit avoir dans sa sacoche, des armes. Les armes des déesses, des śakti शक्ति courroucées ou paisibles, qui, par leur sabre Khaḍga खड्ग coupent les obstacles, par leur foudre Vajra वज्र donnent l’énergie électro-pranique au corps, par le feu Agni अग्नि maintiennent la puissance de l’éveil de la conscience et de l’énergie, par leur flèche Bāṇa बाण, donnent la direction du chemin à suivre. Tout l’art du guide, c’est d’utiliser ces armes avec sagesse. Je remonte alors mon foulard blanc sur ma bouche et descends légèrement mon turban de même couleur sur mon front, car un vent léger des sables se lève. Ma monture est fébrile. Mon regard pointe l’horizon. Loin là-bas, au devant la caravane, nos éclaireurs nous font signe. Jémihoa est le plus actif, c’est un ancien. Il connait bien lui aussi la caravane pour avoir accueilli de nombreux aspirants à mes côtés et sous ma direction, les avoir initiés aux joies des curieuses postures en les démontrant de son corps agile, non sans une pointe de fierté retenue. Il nous faut bifurquer à gauche si nous voulons prendre le bon sentier qui nous conduira au site caché de Brahmara Guphā भ्रमर गुफा [1] que nous atteindrons en principe dans quinze nuitées. Non, ce n’est pas le site de Pétra en Jordanie [2] mais il n’a rien à lui envier. Ce n’est pas non plus le nom dune ancienne pratiquante qui s’est égarée dans les sables mouvants par sa langue de feu, il y a peu d’années. Brahmara Guphā est un haut lieu dissimulé entre les rochers aux parois abruptes et doté d’un approvisionnement sûr en eau. [3] J’y suis souvent venue avec mes anciens pratiquants en kriyā क्रिया et en Dhyāna ध्यान, et à chaque fois, l’arrivée est exaltante et pleine de surprises tant l’effet d’apparition y est saisissant. C’est un peu la même sensation lorsque vous découvrez le temple d’Abou Simbel en Haute Egypte, en arrivant par l’arrière de la montagne, la contournant sur son flanc droit et que vous découvrez pour la première fois ces gigantesques statues immobiles et méditantes de Ramsès II et de Néfertari, scrutant éternellement l’horizon au-delà du lac Nasser. Mais revenons à Brahmara Guphā. On dit que cet endroit fut un lieu propice au développement d’une cité prospère et fut une étape importante du commerce caravanier, à l’époque où les hommes sages étaient consultés pour la gouvernance des cités [4] Aujourd’hui, c’est un site abandonné par les voyageurs qui préfèrent les quartiers hautement animés en foule et en écrans colorés. Et tant mieux ! [5] Les lieux silencieux et déserts sont devenus si précieux. Ici, nul besoin d’images numériques ni de casques virtuels pour avoir des visions transcendantales. Certes, il existe encore dans ce monde d’aujourd’hui, des hauts sites sacrés pris d’assaut par les lobbies touristiques qui participent à l’accélération de la dégradation de chefs-d’œuvres du passé et à la corruption des autochtones dépendants des lieux. Quelques chefs spirituels tentent d’y veiller, mais le sacré y est en souffrance. Ici nous sommes dans notre tête, et nous pouvons en neutraliser l’entrée aux pollueurs de tout genre. Brahmara Guphā se trouve après avoir traversé de multiples labyrinthes dans les rochers [6]. Lorsque nous arrivons à la partie centrale et principale, une grotte immense, une cavité ouverte accueille dans sa partie nord, trois façades de temples magnifiques. Ces temples sacrés et secrets aux couleurs "argilesques" sont sculptés au flanc des rochers. Ils sont de tailles dégressives [7] et sont reliés entre-eux par des souterrains dans les profondeurs de leurs salles. Il y a tant de beauté en eux que seuls les chercheurs silencieux aptes à méditer à leurs pieds, entendent les chants sacrés des rites anciens venant du passé. Ils y résonnent. [8]. Les contemplatifs peuvent à la phase lunaire montante, y entendre les sons dun lointain futur. Ces perceptions ne sont que les prémices des expériences révélatrices ultérieures que sont les Epoustouflantes Montées Cognitives [9] que les yogis, les chercheurs du sacré connaissent bien. Sur les pierres gravées, il est écrit que dans le premier temple [10], un initié compose des partitions musicales par des impulsions lumineuses sur un parchemin particulier. Chaque note ou accord est formé par la formule d’un composant organique rare [11]. dans le deuxième [12], un autre initié joue les partitions du premier temple et envoie de nombreux coursiers invisibles porter chaque son et son propre rôle à jouer, sur des autels disséminés dans la contrée. [13] Dans le troisième [14], un dernier initié tient en éveil la lampe sacrée sensible aux vibrations de la partition jouée et libératrice du sens des visions de celui qui réussit à entendre et à percevoir. [15] Lorsque nous y arriverons, dans quelques lunes et quelques soleils, il nous faudra cependant pratiquer pendant des mois, voire pour certains des années, de longues méditations profondes et silencieuses, dans la pénombre de chaque temple. Nous y reviendrons. Souvenez-vous de notre escale à Triveṇī. Je vous y parlais des trois rivières souterraines qui s’unissaient en un flot puissant unique de conscience pour se diriger vers Sahasrāra सहस्रार, très loin là-bas, à plusieurs mois de marche. Sur le chemin pour y aller, ce flot unique et profond passe par Brahmara Guphā, y arrive tumultueux et se change en un flot d’images infinies et variées, rivalisant chacune de rapidités, d’étrangetés, de beautés, d’apparitions, de disparitions qui s’enchainent dans un processus ininterrompu. Nul besoin de prendre des psychotropes. Tout est là dans notre cerveau. Nos bosons sont inlassables. Mais Brahmara Guphā ne se dévoile pas aisément. Pour l’atteindre, il nous faudra préalablement, trouver, au-delà des dunes, les montagnes rocheuses qui l’abritent. C’est le site, surtout pour les yogis voyageurs que nous sommes, qui se trouve bien caché à l’intérieur de notre cerveau et que la lumière de Triveṇī éclaire. Jémihoa, un de nos éclaireurs, trace toujours notre route en étant le premier à la marche. Petite gabarit, son crâne est rasé - non pas par alopécie mais par choix. L’habit aide aussi parfois à devenir ce que l’on désire être. Ses mollets de coq, sûrs et puissants, en font un excellent marcheur. Son joli petit corps est encore très svelte à son âge mur. Il est l’exemple même que le yoga conserve. Jémihoa a une particularité. Lorsquil ouvre la marche pour la caravane, loin devant les autres, son pas est intense et rapide. Seuls, ceux entrainés à la randonnée font partie de son groupe intime. Lorsque la caravane arrive dans un lieu pour se reposer et pratiquer les enseignements, Jémihoa n’est plus étrangement en avance et arrive, une fois que tout le monde est là, dans une marche très lente, posée et solennelle. Jémihoa est aussi un pilier de la caravane. Sa fidélité et sa pratique assidue en font un beau pratiquant, bien qu’il ne sache parfois pas se positionner lorsque nous rencontrons sur le chemin, des voyageurs nous manquant de respect. Nous avons pu l’observer se faire invisible comme une dune... Mais peu importe, nous avons suffisamment de guerriers et guerrières sur nos montures. La sagesse n’étant pas toujours la passivité devant le conflit. Jémihoa a malgré tout de grandes qualités d’exigence et de bienveillance. A une certaine époque, Jémihoa a dû marcher parallèlement à nos côtés patiemment et à l’écart, n’ayant plus la force d’être à l’avant. Je le guettais en permanence lorsque je le voyais nous suivre sur la dune voisine. Ce qui devait lui être prodigué à l’insu de ses camarades le fut et personne ne connut sa véritable traversée du désert. Ne lâchant jamais la pratique, il gagna la bataille avec stoïcisme et sut reprendre avec panache, sa place d’honneur. Parfois, trop centré sur nous-même, nous ne percevons pas la peine de l’autre. Le yoga donne le courage et la volonté inébranlable. C’est le chemin des forts. Longue vie à Jémihoa. Il est temps à présent de s’arrêter, de préparer notre bivouac, la nuit sera fraiche. Nous reprendrons demain la route et les pratiques pour nous préparer à ce dernier feu de camp qui nous réunira sous les mêmes étoiles. Puissiez-vous être nombreux ce soir-là. Nous nous y dirons au-revoir. Je sens l’odeur des épices dans l’infusion du soir ... Hari Om tat sat Jaya Yogācārya ©Centre Jaya de Yoga Vedanta Ile de la Réunion Remerciements à C. Pellorce pour la correction [1] Ājñā cakra आज्ञा चक्र est le point de convergence Triveṇī त्रिवेणी des 3 principaux Nāḍī नाडी trajets énergétiques Iḍā इडा, Piṅgalā पिङ्गला, Suṣumṇā सुषुम्नानाडी du corps énergétique. Ils s’écoulent avec force pour former un seul courant de conscience à partir de ce confluent. Triveṇī, ce point lumineux a deux points de résonance, un dans le Bhrūmadhya भ्रूमध्य, le point inter-sourcilier à l’avant et un à l’arrière du crâne dans Candra cakra चन्द्र चक्र. Sa réalité énergétique se trouve à l’intérieur du cerveau, au sommet de la moelle épinière et dans son point de résonance à l’avant. Physiologiquement, au-dessus et à proximité de Triveṇī, au sommet de la moelle épinière, nous trouvons les parties ventrales du cerveau. Les ventricules sont des parties creuses baignant dans le liquide cérébro-spinal. Le système hypothalamique constitué de trois organes majeurs, l’hypothalamus, l’hypophyse pituitaire et l’épiphyse pinéale sont en contact avec des ventricules ou autres cavités. Sans comparer directement l’ Amṛta अमृत au liquide cérébro-spinal ou aux hormones de croissance, notons ce que les textes anciens nous disent. "Le corps de la pinéale dépasse dans le 3e ventricule et est entouré du liquide cérébro-spinal. Cette sécrétion claire descend du Soma cakra सोम चक्र cakra de la lune au-dessus d’Ājña action d’Ājñā cakra आज्ञा चक्र et Candra cakra चन्द्र चक्र. Il bouge à travers la cavité creuse du cerveau vers la moelle épinière jusqu’à’ a sa base. La pinéale, très sensible à la lumière, aide à réguler ce flot. En kriyā yoga क्रिया योग, dans l’éveil du Prāṇa प्राण , par les techniques poussées des prāṇāyāma प्राणायाम, des Trāṭaka त्राटक, des concentrations et visualisations, nous considérons qu’à l’intérieur du corps énergétique, au sommet de la Suṣumṇā Nāḍī सुषुम्नानाडी apparentée à la moelle épinière à l’intérieur du cerveau, se situe une cavité nommée Brahmara Guphā. A cet endroit-là, des mécanismes subtils d’activation du Prāṇa et donc d’états modifiés de conscience ont lieu. Mais ils ne peuvent se faire qu’avec l’aide d’autres Nāḍī, de techniques avancées et processus complexes de pratiques yoguiques avancées.[2] Fabuleux site et merveilleux temple de Khazneh, trésor du Pharaon ». Ce bâtiment est un tombeau nabatéen dont l’imposante façade est taillée dans le grès[3] Référence au liquide cérébro-spinal, voire aux hormones et neurotransmetteurs produits par le système hypothalamique.[6] La substance blanche du cerveau est constituée d’axones, qui agissent comme des fils qui transportent des messages entre les neurones et les cellules de soutien. La substance blanche est située sous le cortex cérébral.] obtenus par le cours des anciennes rivières [[Référence aux Nāḍī du corps énergétique - réseau veineux, nerveux[9] EMC, états modifiés de conscience. Selon l’état et le paradigme de la recherche scientifique, un état modifié de conscience ou EMC aussi appelé état de conscience modifié ou ECM est un état mental différent de l’état de conscience ordinaire, représentant une déviation dans l’expérience subjective ou dans le fonctionnement psychologique par rapport à certaines normes générales de la conscience à l’état de veille ». Ainsi en est-il des rêves, états hypnotiques, hallucinations, transe, méditation, états mystiques, etc.
Alire sur AlloCiné : Alors que Mirta Torres est au cœur des intrigues de "Plus belle la vie", testez vos connaissances sur l'un des personnages phare du feuilleton quotidien de France 3.
La musique ça s’écoute, mais parfois ça se regarde aussi. Chaque semaine, La Face B vous sélectionne les clips qui ont à la fois fait vibrer ses yeux et trembler ses oreilles. Voici la première partie de notre épisode quatre vingt-dix des clips de la semaine. . . Terrenoire et Pomme – Ça Va Aller Une chanson qui fait du bien. Voilà comment on pourra simplement définir ça va aller de Terrenoire. Porté par un refrain aussi simple qu’entêtant dans lequel on a envie de s’enfoncer pour y croire encore et toujours. Les deux frangins qui s’imposent un peu plus chaque jour comme la nouvelle petite sensation de la pop française offre une seconde vie à leur morceau en y invitant Pomme, le tout offrant une relecture encore plus lumineuse et un croisement assez évident entre deux univers qui mettent en leur cœurs un savant mélange d’intime et de poétique. Comme un signe du destin, les trois artistes se retrouvaient ils y a peu ensemble au Printemps de Bourges. L’occasion était trop belle pour ne pas apporter des images à cette jolie collaboration. C’est chose faite, et ce dans un temps record, grâce au génie de notre cher Hugo Pillard. En 20 minutes c’est la vidéo qui ne le dit le quatuor a bouclé une vidéo qui colle à merveille aux sentiments développés dans le titre. Une fuite en avant solaire entre sourires et retour à une certaine idée de l’enfance et de la pureté. On les suit dans leur aventure dans ce paysage idyllique ou le temps semble ne pas avoir d’emprise sur le monde. Et avec tout ça, on a envie d’y croire avec eux définitivement, ça va aller. Villagers – So Simpatico Les métaphores les plus simples, sont parfois les meilleures. En jouant de l’opposition entre un clown triste et un clown heureux, Rosie Barrett rend une illustration parfaite de So Simpatico, la dernière merveille de Villagers. Il est ici question d’amour, de sentiments en explosions et de réconciliation que ce soit avec les autres ou soi même. Conor O’brien nous offre un morceau à l’ambition décuplée, totalement libre dans sa longue et sa constitution. Le morceau joue de sa prétendue simplicité et de ses mots qui se répètent pour nous offrir un joyaux organique et hypnotique qui nous cajole et nous redonne un sourire d’une oreille à l’autre, l’interprétation et les arrangements devenant un transmetteur idéal aux émotions du morceau. La vidéo joue sur la relative longueur du morceau 7min15 tout de même pour nous offrir un vrai petit court métrage. Lumineux et onirique, on part en promenade avec ces deux clowns en quête de joie de vivre. C’est tendre et poétique, enlevé et entrainant. Fever Dreams est attendu pour la fin du mois d’août et si vous êtes déjà on peut juste vous dire que l’attente en vaut la peine. Rendez vous à la rentrée. Edge – LBMLB Après un succès critique plus que correct avec son premier projet, OFF et une présence très intéressante sur Private Club un projet collaboratif avec ses amis et collègues Jazzy Bazz et Esso Luxueux, Edge revient avec LBMLB. Derrière cet acronyme signifiant La Banquière Me Les Brise, le rappeur vient démystifier avec ironie la vie d’artiste avec l’aide du réalisateur Baptiste Erondel. Si certains pensent trop aisément que la vie de jeune artiste est un fleuve tranquille où coule billets et luxure, la réalité est souvent bien différente. Heureusement, malgré les difficultés financières des débuts, certains continuent de croire en leur art, persuadés, souvent à raison, que celui-ci payera un jour ou l’autre. la banquière comprends pas qu’j’suis béni » Par contre, une qui n’est pas enchantée de ce chemin long et rempli d’investissement, c’est la banquière. Prête à tout pour que son institution ne perde rien, elle traque l’artiste qui s’en amuse avec une dérision bien sentie. Tellement elle m’colle, j’crois qu’elle est lovе » Rythmé par un montage effréné et des effets visuels psychédéliques, le rappeur s’amuse avec les mots entre kickage maîtrisé et mélodies toujours aussi efficaces. Bon Enfant – Ciel bleu Notre étape québecoise hebdomadaire nous est offerte cette semaine par Bon Enfant. Après nous avoir enchanté avec un premier effort éponyme en 2019, le groupe est déjà de retour avec un second album prévu pour l’automne et qui dévoile ces premiers indices avec Ciel Bleu. Et une chose est certaine, le quintette n’a rien perdu de la flamme qui l’animait. Une section batterie-guitare qui donne un rythme fou, des synthés épique et on se retrouve face à une envolée sonore réjouissante et hyper positive, comme un remède à l’époque un poil plombante que l’on vit actuellement. Cette idée vit d’ailleurs particulièrement bien dans les paroles, nous appelant à combattre les obstacles autant que le cynisme et à faire de la naïveté et de la tendresse des forces communes qui poussent à l’unité et au vivre ensemble. Visuellement, David Bourbonnais entraine le groupe au cœur des étoiles. Les galaxies et les couleurs s’enchainent et virevoltent autour du groupe qui joue le morceau comme si leur vie en dépendant. On est happé dans cette imagerie lumineuse, chaleureuse et un brin psychédélique. Ensemble jusqu’à la fin, c’est bien tout ce qui compte. Deen Burbigo – Sennin Mode L’écurie flamboyante de L’Entourage a encore beaucoup de carburant dans un V12 qui semble inépuisable. Et ce ne sont pas les récentes frasques de Deen Burbigo qui viendront infirmer le contraire. Toujours plus à cheval sur la qualité que sur la quantité, le rappeur exprime sa longévité et son amour pour un rap qui lui colle à la peau dans le clip de Sennin Mode réalisé par Johann Dorlipo. Durer dans le rap semble de plus en plus compliqué au fil des années, mais pourtant depuis la décennie passée, Deen peaufine son art et s’assoie à la table des techniciens du genre. Un parcours retracé dans une nouvelle leçon rapologique. Il a décidé de la symboliser avec la figure du bonsaï, synonyme de longévité et fil rouge de ce dernier visuel. Porté par l’artiste lui-même et entouré de certains de ses proches à l’instar d’Eff Gee membre de L’Entourage et grand ami de l’artiste le bonsaï suit sa route avant de se retrouver dans nombres de lieux qui ont vu l’artiste se développer dans tous les sens du terme. Big Eff, mon bras droit et moi l’sien, j’commence à peine à être chaud » Un seul couplet suffit pour faire le point et montrer encore une fois le talent qui bouillonne en Burbigo. L’annonce de son prochain EP, confirme qu’il n’est pas prêt de lâcher son amour et sa pratique d’un art et d’une culture qui l’ont toujours suivi de près. Lolo Zouaï – Galipette Superstar pop en puissance Lolo Zouai continue d’affirmer son univers aussi singulier que diversifié à travers un nouveau visuel haut en couleur réalisé par Amber Grace Johnson. Dans Galipette elle mélange à nouveau les ingrédients qui font sa renommée et qui collent à merveille aux mœurs de son époque une impertinence à toute épreuve mise au service d’une confiance en elle presque enviable mais tellement agréable. Le tout mit en musique entre la douceur de sa voix et des rythmiques trap bien plus sombres. Une dualité qui sert à merveille la musique d’une artiste qui entre San Francisco, la France ou encore l’Algérie a su se nourrir de diverses cultures pour installer sa musique. Il n’est donc pas étonnant de la voir commencer le morceau en français, s’amusant des codes du burlesque et invitant sa fanbase française très active à plonger dans ce titre avant qu’elle ne surgisse de l’eau prête à boxer tous les hommes mal intentionnés se dressant sur son chemin. Entourée de femmes inspirantes telles que l’équipe féminine de gymnastique de l’Université de Californie, comptant plusieurs championnes nationales, la jeune artiste envoie tout voler dans un clip dynamique au message plus qu’actuel. Nerlov – Ma vie avec elle Les chansons d’amour ont généralement un chemin très balisé, sans vraiment de nuances où l’on doit souvent choisir entre le grand soleil ou le ciel de pluie. Des choses qui les rende au mieux prévisible et souvent très chiante. Heureusement pour nous Nerlov est plutôt du genre à ne pas mettre de GPS sur sa musique et à se perdre un peu et nous avec lui. L’angevin est un homme de contraste et ses chansons ne se départissent jamais d’un certain cynisme, un peu d’humour bien senti qu’il accole à des productions souvent apocalyptiques. Alors quand il dévoile un morceau qui s’appelle ma vie avec elle, on s’attend à tout sauf à quelque chose de classique. Oui Nerlov nous parle d’amour, mais à sa manière, noyé dans les doutes, les surprises et les incertitudes. Sa relation amoureuse, il l’envisage comme une porte de sortie sans attente particulière. Toujours un peu neurasthénique, il met cette relation en parallèle à des sentiments ambivalents envers sa propre personne et un monde qui se barre de plus en plus en couille. Le tout donne une échappée heureuse sur l’instant qui peut autant courir sur le long court que se fracasser rapidement dans un mur. Un sentiment qu’on a finalement tous ressenti à un moment ou un autre de notre vie. Musicalement, on appréciera particulièrement le côté très tranché entre le couplet et le refrain, offrant deux perspectives émotionnelles différentes, alors que le morceau se termine par une longue plage électronique assez emballante. Visuellement, c’est une forme d’épure qui est choisie par François L’Haridon & Simon Higelin. Après nous avoir rappeler l’importance de l’hygiène bucco-dentaire, on se retrouve face à un plan assez simple sur le visage de Nerlov, entrecoupé de plans plus resserrés sur ses yeux. Au fur et à mesure que le morceau n’avance, la caméra se fait plus instable, en mouvement presque permanent avant de transformer le tout en délire presque psychédélique sur le dernier tiers instrumental. Nerlov sera de retour à l’automne avec un nouvel EP et on pourra le retrouver en concert au Crossroads Festival et au MaMa. Floky – Pendant qu’elle dort Pour le moment seul et unique signature du jeune label Suite 21, Floky a pu s’entourer d’une équipe de professionnels à l’écoute de sa musique pour l’emmener le plus loin possible dans son processus créatif. Après quelques moments à travailler dans la discrétion, il est venu l’heure de dévoiler un premier clip avec Pendant qu’elle dort réalisé par Léo Joubert et Faneva Rabetsimamanga. Filmé de manière très cinématographique, le visuel se déroule au rythme de l’instrumentale de wetprogres et des arrangement de Roseboy666, filmé en noir et blanc, l’ambiance visuelle prolonge à merveille celle émise par l’artiste dans ce morceau. Nourrit par ses démons, Floky tente de les abandonner en partant en vacances avec trois amis. Leur caravane adossée à la falaise faisant face à la mer, ils évoluent entre rires et moments de réflexions, portés par la voix étonnamment hypnotique de leur pote artiste. Malgré ces épisodes de relâchement, c’est bien les démons du chanteur qui transpire à travers cette ballade à la fois teintée de noirceur mais laissant entrevoir un fin filet d’espoir, expliquant peut-être le choix du filtre noir et blanc appliqué au visuel. Poétique dans sa musique et son visuel, Floky commence à installer un univers prenant qui donne déjà envie d’en savoir plus. PH Trigano – Escroc Feat. Swing L’amour est un Escroc, c’est PH Trigano qui le et producteur qu’on a déjà pu retrouver aux côtés de Loveni, Ichon, Crystal Murray ou Lala &ce revient à la musique sous son propre nom et annonce un album pour la rentrée. C’est dans une douceur crépusculaire que l’artiste nous love. Ce nouveau morceau c’est une lettre ouvert à l’Amour, celui qui trahit et déçoit, celui qui empêche de dormir. PH s’y adresse directement, lui qui l’a croisé dans les livres, dans les films, qui s’est paré d’illusions pour mieux dévoiler ensuite sa vraie nature. Des thèmes romantiques doux amer qui appelle une musique à la hauteur, le bonhomme nous offrant un r’n’b organique et moderne ou l’homme s’autorise enfin à chanter ses peines plutôt que ses victoires. Pour apporter un peu plus de profondeur et d’aspérité au morceau, PH Trigano laisse une bonne place à son pote Swing qui nous offre un refrain chanté parfait et plein de sentiments. Artiste aux multiples talents, PH Trigano passe aussi derrière la caméra pour s’offrir un clip presque naturaliste entre le jour et la nuit. On suit les deux musiciens face à leur solitude, alors que l’amour se retrouve personnifié, se maquillant et se faisant sensuel pour mieux nous attirer dans ses filets. PH Trigano a définitivement raison, l’amour est un escroc. Bushi – Qatari L’ascension du jeune Bushi ne cesse de continuer de morceau en morceau. Passé par des expériences de groupes Lyonzon, Saturn Citizen, il s’épanouit également en solitaire comme en témoignent ces deux récentes sorties Mistral et Qatari sorti cette semaine et mis en image par Steeny777. En symbiose avec l’instrumentale de Taemintekken, le jeune prodige laisse sa voix singulière tutoyer des sonorités entraînantes. Comme à son habitude, il a fait le choix d’un visuel épuré où les mêmes lieux reviennent au cours du clip. Une manière cyclique de réalisation qui accompagne à merveille l’énergie du morceau. A l’image du titre, Bushi se la joue Qatari avec une grosse voiture, pourtant il ne vient pas ici flexer avec la richesse, mais il exprime le désir de réussir et de tutoyer cette opulence. Ici, on veut vivre comme des Qatari » Le chemin semble encore long et le rappeur à l’air de l’avoir intégré. Entre les plans avec cette voiture de luxe, viennent se glisser un rendu plus réel de la vie du jeune rappeur. Oscillant entre ces deux modes de vie, son ascension devrait bien vite lui apporter un certain confort de vie. BAASTA! – Gardons l’élégance Tiens, revoilà BAASTA! Les arrageois continuent de battre le fer tant qu’il est chaud et dévoilent déjà le troisième single de l’année avec Gardons l’ l’élégance c’est un appel à la résistance, un besoin d’aller à contre courant, de ne pas suivre les yeux fermés tout ce que le monde nous demande de faire. Une dernière bravade car si le bateau coule, on n’est pas obligé d’aller percer sa coque. Comme toujours, le duo n’hésite pas à balancer les mots qui claquent et frappent fort. Toujours porté par cette dualité entre la basse et la guitare, BAASTA! nous offre une autre facette de leur musique, avec ces nappes électroniques qui viennent souligner un thème et une composition plus pessimiste que d’habitude. On sent en effet un sentiment d’inéluctable qui transpire du morceau, comme si les efforts ne servaient plus à rien. La fin du monde pour bientôt ? Sans doute, mais cela ne doit en rien empêcher de foutre un bon coup de pied dans la fourmilière et ça BAASTA! le fait, et le fait bien. Visuellement, le groupe nous entraine dans un monde depixelisé, toujours portait par leur esthétique en noir et blanc. La vidéo alterne les perspectives entre FX et Yo qui jouent leur morceau et un amusant jeu de peinture les transformant ironiquement en …chevaliers blancs. Alma Elste – Cy Les morceaux en piano voix sont souvent des aventures un peu casse gueule. Parce qu’il est souvent difficile de se cacher derrière un piano et que les émotions mentent rarement, s’aventurer dans cet exercice est souvent périlleux. Heureusement pour Alma Elste, c’est une aventure à deux qu’elle nous offre avec Cy. Parce que le piano est son meilleur pote depuis toujours et que ce morceaux ils le partagent ensemble. À lui le rythme et la douceur, à elle les émotions et l’emphase, bien aidée par une voix sublime et mouvante aussi a l’aise dans le côté un peu jazz et planant que quand elle se décide à s’envoler pour côtoyer les étoiles. Le tout nous offre un cocon de 2min30 dans lequel on décide de s’enferme encore et encore, comme un câlin réconfortant qu’on voudrait vivre pour toujours. Visuellement, Thomas Gerard nous offre une promenade solaire et terre à terre ou l’on suit l’artiste dans un quotidien entre le réel et le fantasme à la reconquête de sentiments parfois contrastés. En un mot comme en cent on fond totalement face à Alma Elste.
LaVie est belle malgré tout Tags : bonne · Greffe rénale Pour certains patients, une greffe rénale s’impose. Règle générale, les patients doivent avoir une espérance de vie relativement favorable (par exemple, 5 ans dans certains milieux) pour pouvoir bénéficier des avantages de la greffe.
Paroles de la chanson Ma Reine par Dod Quand je l’ai vue je suis tombe amoureux d’elle Le corps parfait baby model Dans mon rêve ma femme était comme elle donc baby pour toi je décrocherais le prix Nobel Tes copines dirons que je suis un teur-men Que je vais t’apporter des peines et des tourments Mais si t’étais le prix dans un tournoi j’affronterais tout le monde et je ressortirais gagnant Dans ton cœur j’ai stocker ma force, donc me lâche pas si on fonce Et pour nos ennemies t’en fait pas le calibre est même près de moi confiance Toi et moi près des seychelles Je ferais tout pour toi ma belle je ferais tout pour toi ma belle Eh ma chérie eh faut que le monde sache qu’on est lié Prie pour ce qui va nous arriver Si je te valide c’est que le bangs t’a validé eh C’est toit ma reine et je prendrais soin de toi Malgré les peines je fais des efforts donc prends sur toi Ouais je t’ai promis toi et moi c’est pour la vie N’écoutes pas les on m’a dit Toi et moi c’est pour la vie N’écoutes pas les on m’a dit On s’embrouillera ou tu veux on y va Ramène ta copine IBM sera la Elle est belle quand elle prie, ravissante quand elle danse Et souvent la nuit c’est à elle que je pense Gang gang ensemble on construira notre palace Tu seras la plus belle de mes rats de palais Mais pour le moment il faut des liasses, avec moi je t’amène pour des vacances à Palerme Eh je suis timide mais j’en ais pas l’air A toute ces groupies je ne leur donne pas l’heure T’aime les “A plus tard” Tu préfères que je te dise que “Bébé à tout t’a l’heure” Toi et moi près des seychelles Je ferais tout pour toi ma belle je ferais tout pour toi ma belle Eh ma chérie eh faut que le monde sache qu’on est lié Prie pour ce qui va nous arriver Si je te valide c’est que le bangs t’a validé eh C’est toit ma reine et je prendrais soin de toi Malgré les peins je fais des efforts donc prends sur toi Ouais je t’ai promis toi et moi c’est pour la vie N’écoutes pas les on m’a dit Toi et moi c’est pour la vie N’écoutes pas les on m’a dit Toi et moi près des seychelles Je ferais tout pour toi ma belle je ferais tout pour toi ma belle Je suis ta lune t’es mon soleil Et deux trois hits un max d’oseilles C’est toit ma reine et je prendrais soin de toi Malgré les peins je fais des efforts donc prends sur toi Ouais je t’ai promis toi et moi c’est pour la vie N’écoutes pas les on m’a dit Toi et moi c’est pour la vie N’écoutes pas les on m’a dit
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la vie est belle malgré les peines qui nous enchainent